HUMOUR : CAR/MEN, Ve. 8, Sa. 9 mars

Après Tutu, les Chicos Mambo décoiffent la cultissime Carmen. Dans une ambiance façon Almodóvar, huit danseurs et un contre-ténor font du chef-d’œuvre de Bizet un tourbillon de bonne humeur et d’humour. Olé Olé !

Ils nous avaient éblouis la saison dernière avec Tutu, une ode déjantée au ballet et à la danse classique. Cette fois-ci, les Chicos Mambo s’emparent d’un monument, Carmen. Le chef-d’œuvre de Georges Bizet, l’opéra le plus joué au monde, trouve ici une relecture des plus décapantes. La troupe se joue avec fantaisie du masculin et du féminin dans un manifeste à la liberté où tout semble possible. Sur scène, huit danseurs et un chanteur se transforment en permanence, tournent en dérision Carmen, l’icône de la féminité absolue. Mais la fantaisie n’exclut pas la virtuosité. Les envolées collectives, aux styles variés, se partagent la scène avec des solos d’une grande poésie et technicité. Un spectacle total qui réserve au public un final participatif en forme d’apothéose. Mais l’on ne vous en dit pas plus… CAR/MEN, ou quand l’opéra devient une grande fête populaire.

PRESSE
Le fantaisiste chevronné Philippe Lafeuille a le don d’affoler les œuvres classiques pour mieux en rire. Dans un jeu permanent entre masculin et féminin, l’opéra de Bizet s’offre ici une relecture qui secoue. – Télérama.

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